Shikayachan

Les écrits de Shik-Aya-Chan

Livre 1, Chapitre 1, 6ème partie : Diane et Apollon

Livre 1

Chapitre 1

Diane et Apollon


Le prof les présenta à la classe:
« - Un peu de silence s'il vous plait, dit-il ( les conversations allaient bon train mais se turent ), nous devons accueillir deux nouveaux étudiants de Akhal. Comme vous connaissez tous la carte de forestia par coeur, vous savez où cette capitale régionale se trouve. »
Je me tassais sur ma chaise. J'étais complètement nulle en géographie, Il n'y avait que 101 ville à apprendre, j'en connaissais trois sur 100 ( Urbapolis, Feria et Geminas ) et les autres seulement pendant une période.
« Je vais les laisser se présenter, repris le prof
-Je m'appelle Apollon, dit le garçon, et voici ma soeur, Diane, la fille fit un geste de la main, nous venons d'Akhal, dans l'est. Nous sommes ravis d'être ici avec vous et on espère que tout se passera bien. »
Un murmure se propagea dans la classe. Les deux adolescents étaient divinement beaux. Le garçon était brun, avait des yeux violet comme ceux de sa soeur ,comme tous les jumeaux et, bizarrement, comme moi, qui n'avais jamais eu de frère ; et il avait de grandes ailes de cygnes blanches. Sa soeur était blonde et avait des ailes de chauve-souris noires. Ils étaient étrangement symétrique l'un a coté de l'autre, comme tous les jumeaux d'ailleurs.
Moi je me sentais mal à l'aise. J'avais toujours été différente avec mes cheveux noirs et mes ailes rouges. J'aurais du être rousse et sans yeux violets ou avec des ailes de papillon ou de libellule. Comparé à ces véritables jumeaux je semblai encore plus déplacé qu'à l'ordinaire, au milieu de ces gens normaux. Apollon promenai ses yeux dans la salle pendant qu'il allai s'asseoir à la table du fond, la ou il y avait encore des places libres.
Son regard s'arrêta sur moi. Je n'arrivai pas à lire son expression. Je n'eus pas le temps d'analyser plus que ça car il était déjà derrière moi sur sa chaise derrière son bureau.
A la récrée, ils furent assaillis de partout, les questions fusaient, et les regards pleuvaient. Galba se mêlait joyeusement à la foule pour poser elle aussi des questions et noter toute les réponses sur son carnet. Moi, par contre, je ne me mêlai pas cette foule en furie. Peut être était-ce parce que je n'aimait pas la foule, ou alors parce que j'étais intimidé par les nouveaux arrivants.
A la fin de leur interrogatoire et quand tous le monde se dispersa, Galba revint vers moi et continua à rajouter des notes dans son carnet. Nous ne vîmes pas approcher Apollon et Diane. Ils devaient être aussi curieux à mon égard que les badauds de l'instant précédent. Apollon s'assit à coté de moi, Diane sur ses genoux. J'attendis qu'ils parlent. Ce fut Diane qui rompit le silence :
« -Ou il est ton jumeau ?
-J'en ai pas, répondit-je tristement.
-C'est pas possible. Vu ton apparence tu en a forcement un.
-Ben non tu vois bien je n'ai pas de jumeaux.
-Il est mort et tu veux pas nous le dire, c'est ça ? »
C'était Apollon qui avait fait cette dernière remarque. Je le détestait immédiatement pour cette remarque. Il me parlait pour la première fois et il osait proposer à voix haute une tel hypothèse ? Je lui lançais un regard meurtrier empreint de haine. Pour monter ma colère je me levais précipitamment et partit en courant presque, sans rien répliquer. Galba me suivit quelque secondes plus tard.
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Je sais pas si vous aviez remarquer mais y'avait des confusion dans les descriptions donc j'ai changé tout ça. Je vais à la traque aux erreurs !

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Livre 1, Chapitre 1, 7ème partie : Colère

Livre 1

Chapitre 1

Colère
« Tu as entendu ce qu'il a dit ?! demandai-je a mon amie, Je n'ai jamais rien entendu de plus blessant et de plus vexant !
-Il ne pouvait pas savoir, c'est naturel de se poser cette question quand on ne te connais pas.
-N'empêche, comment il a formulé sa phrase ! »
Galba se tut, se qui était rare chez elle. Je devait vraiment avoir l'air furax. La sonnerie retentit, nous rentrâmes en classe. Pendant le cour, je ruminais les événements. Je lui en voulait, c'était sur. C'était vraiment le genre de truc à pas me dire. J'étais assez susceptible sur le sujet comme ça, ma différence m'avait assez fait souffrir et j'avais longtemps été rejetée et on venait tout juste de m'accepter, en oubliant Galba qui avait toujours été mon amie, pour le meilleur et pour le pire.
Au déjeuner j'étais toujours d'humeur fracassante. Galba me jetait souvent de regards inquiet. Les gens de notre table, nos amis, aussi.
« -Quoi ?! demandais-je
-Rien,rien, répondit Galba.
-Si il y a quelque chose visiblement.
-Non, je t'assure !
-Si, sinon tu ne ferait pas un tête pareil et tu me demanderai ce que je pense du nouveau et de sa soeur.
-Bon d'accord. J'ai l'impression que la remarque d'apollon t'as un peu chamboulé. Je ne t'ai jamais vu comme ça, même quand il était question de ta différence ou de ton éventuel frère. Tu as l'air de souffrir et je n'ai pas l'habitude de te voir dans cet état. »
Ainsi donc, j'avais l'air de souffrir. Ou elle interprétait mon expression comme de la souffrance. Ou alors, hélas, elle me connaissait trop bien. Peut être était-ce le cas, et j'étais trop en colère pour analyser mes émotions.
-Je vais bien je t'assure. Le truc est qu'il m'a profondément énervé. Je n'ai jamais vu quelqu'un être aussi impoli et irrespectueux.
-Moi si, répondit-elle malicieusement»
J'haussais un sourcils
«Toi», continua-t-elle
Je souris et lui lançais de la mie de pain à la figure. Elle savait comment faire pour me remonter le moral.
«Et puis, rigola-t-elle en me confisquant mon pain, Apollon n'arrête pas de regarder dans ta direction. J'ai l'impression qu'il s'en veux. D'ailleurs il se lève et se dirige vers notre table. Laisse le s'excuser si c'est ça qu'il veut faire.»
Quelques secondes plus tard, quelqu'un se racla la gorge derrière moi. Je me retournai lentement, sachant très bien qui cela pouvait être. Apollon se tenait là, les mains dans le dos, l'air gêné de sa présence juste devant moi, comme si c'était indécent.
«Je suis désolé de mon attitude. Je t'ai blessé et je m'en excuse. Pardonne moi.»
Je le regardai pendant quelques minutes. Finalement, je lui répondit positivement :
«Excuses acceptées»
Il sourit, d'un joli sourire au demeurant. Belles dents, bien droites, bien blanches. Par contre, ce que je ne compris pas tout de suite c'était qu'au lieu d'avoir une lueur de joie dans le regard il y avait une lueur d'espièglerie, de malice.
« Au fait tu ne m'as pas répondu a ma dernière question ... »
Le coup parti tout seul. Je sentit juste que je le giflais de toute mes forces. Ce fut le silence, tout à coup dans le réfectoire. On n'entendit même pas le tintement des couverts.
Je n'en pouvait plus. Je lui dit normalement, sans crier, sans hurler, sans murmurer, d'une voix teinté de colère, de rage et de danger, d'après ce qu'on me raconta par la suite :
« Je ne te permet pas, ni à toi ni a personne, d'aborder le sujet de ma différence. Je suis inasortie, j'ai les yeux violet et pas de jumeau. C'est comme ça et pas autrement. Si tu abordes, toi ou n'importe qui d'ailleurs, le sujet je jure sur les déesses que je le suspend au bord de la plate forme et que je lui fait bouffer ses cheveux. »
Pendant mon discours, toujours ce silence de mort. Tout le monde me regardaient avec des yeux ronds et Apollon avait une trace de main rouge sur la joue. En notant ce détail, je me rappelle que j'étais assez fiere de moi. Il allait la garder toute la journée.
Sur ce, je sortait de la cantine et levitait jusqu'au toit du réfectoire, qui était difficilement accessible pour toute personne a l'endurance restreinte à l'exercice de la lévitation. Pour toute personne tout cour d'ailleurs. J'étais la seule à pouvoir léviter assez haut pour pouvoir atteindre le haut du réfectoire. Cela faisait du bien de pouvoir être seule pendant quelques instants. Bientôt on me chercherai, on m'appelerai. On enverrai même quelqu'un me chercher. J'étais dans une fureur monstrueuse., même si je me calmai petit à petit.
Le pire était sûrement que moi aussi je me posai des questions sur ma différence. Peut être le foetus de mon frère était mort née. Ou alors j'étais la première depuis Eldarin à être inasortie et à ne pas avoir de jumeau.
Deja j'entendai des gens sortir de la cantine et parler de la scène qui venait de se dérouler sous leurs yeux. Il ne faudrait pas longtemps pour que la rumeur se propage dans tout le campus. Les plus petits jusqu'au plus grands, des primaires jusqu'au terminales saurait que Ladiella, la bizarre, la curiosité, avait pété un plomb dans la cantine. Galba allait se régaler. J'espérai seulement qu'elle réorienterai la rumeur afin de ne pas me blesser. Ma situation était déjà assez pénible comme ça.
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Houla il est long celui-la, j'avais pas vu que ce passage etait aussi long.
On sait enfin de quel pouvoirs elle parle. C'était mieux avec du supense, non ?

desolée elle trop moche l'image, mais elle a encore été faite par votre serviteuse, qui n'est pas doué sur paint mais qui ne demande qu'a s'ameliorer.

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Livre 1, Chapitre 1, 8ème partie : Dons

Livre 1
Chaptre 1

Dons
Il y eu un bruit de battement d'ailes dans mon dos, je ne me retournait pas. On s'assit à coté de moi. On soupira. Je tournais la tête. Je fut assez surprise de découvrir que c'était Diane qui était venue me voir.
Elle ne parla pas tout de suite. Elle devait sans doute attendre que je sois prête à l'écouter.
«-Il manque totalement de tact hein ?
-Hum
-Je lui avait dit, je l'avait prévenu pourtant. Les gens spéciaux réagissent très violemment quand on les attaque de front. Mais il ne m'a pas écoutée. Et voilà le résultat : il t'a blésée et tu lui en veux.
-Hum
-Tu veux que je reste ou que je m'en aille ?
-Hum, enfin, je veux dire comme tu veux. Ta présence me calme.
-Bon ba je reste alors.»
Nous parlâmes. De tout et de rien. De nos vie passé et présente. De toute ces petites choses qui construisent et entretiennent une amitié.
Quand la sonnerie retentit. Nous descendîmes en riant. Ma fureur était retomber, même si elle était toujours la sous là surface de mes émotions et de mes sentiments. Nous descendîmes du toit et nous nous dirigeâmes vers le gymnase. Peut être allais-je réussir à apaiser ma colère dans le sport ?
Quand nous arrivâmes dans les vestiaires, les conversations se turent. Puis très vite ce silence se metamorphosa en petit chuchotement discret ( en tout cas pour des filles ). comme si ce n'était pas suffisant il faillait qu'elles en rajoutent.je me sentais deja assez mal comme ça.
Je me changeais rapidement sans un regard pour les autres sauf pour Galba : je lui fit un sourire rassurant qui la tranquilisa.
Arrivé dans le gymnase, je commencais a m'échauffer. On bouge bien tout les muscles des ailes, des épaules, du dos, des jambes. On fait bouger tous les os du corps ( dur pour les ailes, il y en a beaucoup et ça fait mal parfois). Les ailes se touche devant la tête, au niveau du visage, puis derriere soi. Ha là j'y arrive jamais. Il reste toujours une quinzaine de centimètre entre les deux ailes, un peu comme l'écart entre le sol et l'entrejambe quand on fait le grand écart. C'est pareil, c'est juste une question d'échauffement, d'entraînement, et de souplesse naturelle aussi. J'avais entendu dire que les ailes de cygne ne pouvait pas physiquement finir cet exercice, que c'était humainement impossible pour eux. Ça me rassurai un peu.
Pendant les échauffements, les autres arrivaient petit à petit et commençait à s'échauffer eux aussi, ou alors (plus gênant) me regardaient faire. A l'époque je ne mesurai pas encore les 2,05 mètres de maintenant mais j'atteignais facilement le mètre 85.
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Je vous prévient le chapitre 1 ne risque pas de se finir tout de suite ( même si je l'ai déja ecrit [ mais pas taper ] ), je voudrais d'abord passer un cap.
En fait c'est comme un chapitre dans un vrai bouquin : il fait plusieurs pages et pas seulement 4-5 articles.
Pour les livres, je pense déja à des histoires dans le même monde mais totalement differente. on vera déja si j'arrive à finir celle-ci.

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Livre 1, Chapitre 1, 9ème partie : Pouvoirs

Livre 1

Chapitre 1

Pouvoirs
Galba vint s'échauffer à coté de moi avec Diane. Apollon, pas fou, restait à une distance prudente de moi : fallait pas pousser non plus.
La prof arriva. Elle commença à nous expliquer l'exercice du jour. Je me forçait à écouter mais les mots rentait par une oreille et ressortait par l'autre. Au final je ne savais pas ce qu'il fallait faire. Chance et honte assurée, la prof me pris comme exemple. Elle expliqua étape par étape l'exercice. Il était horriblement facile. J'étais déçue. Comme demandé, je donnais 3 grands coups d'ailes pour me soulever du sol et enclenchât la lévitation. Le truc était de rester exactement là où nos ailes nous avaient emmenée : simple.
Pas pour tout le monde pourtant. Les autres élève de la classe peinaient dans pour cet exercice. J'essayais de les aider au mieux en restant en l'air mais leur capacités étaient beaucoup plus limitées que les miennes ( et il faut le dire, certain étaient assez réticent : ils ne voulaient aucune aide de ma part, comme d'habitude; entre nous je pense que c'était de la mauvaise volonté). À la fin de l'exercice, cela faisait une demi-heure que j'étais en l'air sans avoir touchée le sol depuis l'explication de la prof. Je commençais à fatiguer. Je redescendit donc. La classe était habituée à mes exploits. Pas Diane et Apollon. Ils ouvraient de grands yeux, c'était très drôle à voir.
L'exercice suivant était d'aller le plus haut possible, de rester en l'air pendant 5 minutes et de redescendre en planant en cercle pour rester le plus longtemps sans lévitation. Ça aussi c'était facile.
Ce qui m'étonna, ce fut que Diane et Apollon y arrivaient parfaitement eux aussi. Une autre caractéristique des jumeaux sans doute : être parfaitement à l'aise en l'air. Encore un domaine ou j'étais différente des gens normaux.

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J'ai changé l'image ( c'est ma soeur qui l'a modifiée, reussi non ?) c'est mieu comme ca. Je sais elle a pas l'air de trop souffrir Ladiella, mais elle est comme moi : elle interiorise.

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Livre 1, Chapitre 1, 10ème partie : Démon ?

Livre 1

Chapitre 1

Démon ?
Âpres le cours de gym, celui d'histoire : j'adorai ça. C'était si passionnant de savoir comment de petites tribus barbares avaient réussi à construire notre civilisation malgres les démon peuplant le sol. Ils apparaissaient fréquemment dans l'Histoire. Ils me passionnaient : de temps en temps, quand je n'avais rien de spécial à faire, j'allai m'asseoir a l'extrême extrémité de la plate-forme, surtout pendant les vacances. Je passais les pieds entre les barreaux, je mettais les main sur la rampe supérieur et appuyait ma tête contre les barres de fer. Je pouvais rester dans cette position pendant des heures entières en scrutant le sol à la recherche de démon. Jusqu'ici je n'avais vue que des ombres floues, rien de précis.
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C'est exeptionnel de mettre 2 article histoire à la suite. Mais la y'avait plus aucune annexe qui collait alors je rajoute ce paragraphe. Mais remarquez quand meme que je fait des maj plus souvent.

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